1984/85 Le vivant et l’artificiel

Lors du Festival d’Avignon 1984 (dirigé par Bernard Faivre d’Acier, à qui l’essai est dédié), Louis Bec et Marc Partouche organisèrent une série d’expositions et d’événements sur le thème du vivant et de l’artificiel. Louis Bec décrivit ainsi son objectif : « Il s’agissait de replacer la matière du vivant dans son contexte social, scientifique et artistique et de montrer que la pensée traite du vivant à des niveaux symboliques supérieurs. De l’autre côté, l’artefact, l’objet artificiel qui fait partie de l’histoire de l’hominisation, élargit les domaines du sens et de la pratique du vivant par définition mobile. L’objet artificiel devient donc un magnifique lieu d’exploration du vivant et de l’espace. ». Flusser fut invité à y donner une conférence le 11 juillet 1984.

Deux livres furent publiés par les éditions marseillaises Sgraffite de Marc Partouche : un recueil de textes (Le vivant et l’artificiel : Recueil : Fictions, poèmes, récits, communications, dessins) en 1984 et un catalogue bilingue français anglais en 1985.

Flusser publia le texte de sa conférence sous le titre « Le vivant et l’artificiel » dans le recueil de textes (pages 63-66) . Tapuscrit ici. Un autre tapuscrit, assez différent est dédicacé à Louis Bec.

Et il en publia un résumé sur une demi-page sous le titre « Vivre artificiellement » dans Le vivant et l’artificiel : catalogue, page 143. Tapuscrit ici.

Le texte de sa conférence du 11 juillet 1984 est ici.

Ces textes ont été partiellement repris dans « Le vivant et l’artificiel », Multitudes, Paris, Nº 74, printemps 2019 (Mineure 74. Vilém Flusser : vivre dans les programmes), pages 199-202.

Textes repris ici avec l’aimable autorisation de Marc Partouche.